Ici, la ville superpose les fonctions en s’affranchissant des contraintes et en recréant du sol dans les franges de l’infrastructure ferroviaire et en encorbellement au-dessus de celle-ci. La structure béton et acier développée pour satisfaire cette ambition articule le dessus : le siège Vinci et le dessous : la gare. Ainsi, les deux programmes sont imbriqués, interdépendants… l’un ne peut se faire sans l’autre. Le premier se fait au service du second. L’ancrage dans la ville est multiple, stratifié et le siège Vinci s’adresse à toutes les échelles de la métropole : au réseau métropolitain dans son rapport au sol et à la géographie du Grand Paris dans son rapport au ciel.